C’est l’utilisation de l’ADN (plus précisément les gènes) comme médicament. Beaucoup de maladies sont concernées par cette approche thérapeutique : les maladies génétiques, bien sûr, mais aussi des maladies acquises comme le cancer, le sida, certaines maladies cardiovasculaires, certaines maladies du système nerveux central...

Femme transmettant une maladie à son enfant, elle-même pouvant être atteinte ou non par la maladie.

Anomalies des battements du coeur qui sont trop lents (bradycardie), trop rapides (tachycardie) ou irréguliers (arythmie).

voir troubles du rythme.

Quantité d’un composé dans le sang circulant.

Enzyme coupant l’ADN au niveau des télomères.

Extrémité du chromosome en contact avec le pore nucléaire, dont la séquence d’ADN, très stable, code pour l’ARN ribosomal.

Méthode d’évaluation manuelle de la force des principaux groupes musculaires. La mesure s’exprime sur une échelle graduée de 0 (pas de force) à 5 (force musculaire normale).

Processus par lequel on transfère des cellules (modifiées ou non) dans un organisme dans un but thérapeutique.

Traitement par médicaments (molécules contenant des principes actifs).

Glande située à la base du cou, derrière le sternum et devant la trachée, bien développée chez le jeune mammifère et qui régresse à l’âge adulte. Il intervient dans la transformation (différenciation) en lymphocytes T de cellules souches lymphoides provenant de la moelle osseuse.

Technique radiologique permettant d’étudier le corps humain à l’aide de clichés par coupes.

Incision chirurgicale de la trachée pour y placer une canule reliée à un appareil de ventilation assistée.

Conversion de l’ARNm en protéine.

Enzyme permettant la transcription d’une molécule d’ARN en une molécule d’ADN. Elle est indispensable à la multiplication des rétrovirus.